2017-2018 : « Ecouter les psaumes »
Les écouter dans le texte originel, hébraïque, pour découvrir tout leur sens.
Les écouter dans le texte originel, hébraïque, pour découvrir tout leur sens.
La Bible par l’hébreu, telle est la démarche d’Elisabeth Smadja. Après les Dix Paroles, elle nous parle aujourd’hui du Notre Père, et en particulier du mot hébreu qui a été traduit par tentation, mais un autre mot aurait pu être choisi, et apporter un autre sens.
La démarche d’Elisabeth Smadja part des mots de la Bible dans leur langue d’origine : l’hébreu. Elle ouvre à de multiples sens permettant de nouvelles lectures. Cette année, trois sujets sont explorés : les Dix Paroles, le Notre Père, les Béatitudes.
Il faut reconstruire la fraternité en la dépouillant des éléments bâtards, falsifiés, illégitimes (préférences, rivalités) et rétablir la communication, l’assomption du passé et du présent. Pour cela il est indispensable la reconnaissance de la faute et de la culpabilité. Joseph non seulement il ne se venge pas, il pardonne. Mais le pardon exige obligatoirement la reconnaissance la culpabilité. On ne peut pas pardonner à celui qui n’a pas conscience de la faute, de l’injustice commise.
Jesus Asurmendi-Ruiz aborde dans l’atelier biblique du 13 mars le pardon et la réconciliation dans le cycle de Jacob.
Depuis janvier 2016, un atelier intitulé « écoute des psaumes » est proposé. Il s’agit de les écouter dans leur version hébraïque afin que chacun(e) puisse commencer ou continuer son apprentissage de…
Quelques textes du livre de la Genèse offrent une trame narrative très riche touchant le pardon et la réconciliation
Un « slunch », c’est un brunch du soir… Les « Slunchs de la Bible », ce ne sont donc pas des conférences, des cours, des ateliers, un enseignement, une formation… C’est un moment de partage, au cours duquel on parle et on mange. Un moment ou la parole circule, s’échange, et dont le « plat principal », c’est la Parole biblique.
À partir de mercredi 16 septembre, dans la salle blanche de Saint-Merry
« Une fraternité vivante se tisse au fil des réunions, riche de nos différences irréductibles, de nos ressemblances. Une fraternité affective certes, solidaire, mais aussi spirituelle. Ne nous choisissant pas, nous apprenons à recevoir l’autre comme un frère dans le Christ. Une fraternité en devenir, vécue différemment selon chacun ».
La proposition du groupe « Vivre des Évangiles » à Saint-Merry
« On les chante, on les lit, on vibre avec eux, on les déteste. Au choix.
D’une qualité poétique et spirituelle, voire théologique, souvent exceptionnelles, on ne les consomme pas comme une glace quelconque au mois d’août ».
Les psaumes sont au centre du nouvel atelier animé par le bibliste Jesús Asurmendi à Saint-Merry
On ne peut pas comprendre le nouveau testament en oubliant qu’il est ancré dans la pensée et la tradition juives, même dans ce qui paraît éminemment chrétien.
Voilà la thèse que le rabbin orthodoxe américain Daniel Boyarin expose dans son dernier livre publié en France et que Christian Manuel analyse dans cet article.
Jésus prend du recul en montant dans une barque pour s’adresser à la foule. Une barque qui, sous la plume de Mathieu, peut signifier l’Église naissante qui enseigne et qui rencontre ses premiers échecs. Aujourd’hui, à nous aussi de prendre du recul pour décoder ce passage de l’Évangile, et son style.
Lire et méditer l’Écriture comme le scribe de l’Évangile (Matthieu 13, 52), « qui tire de son trésor du neuf et du vieux ».
C’est à cet exercice que nous convie Christian Manuel avec cette méditation sur la femme syro-phénicienne qui tombe aux pieds de Jésus