Le sacrement de la sérénité Un nouveau sacrement ?
Simplement, une autre appellation du « sacrement des malades ». Il va être donné à Saint Merry, le dimanche 2 juin au cours de la célébration, Deux réunions sont prévues, pour se connaitre,…
Simplement, une autre appellation du « sacrement des malades ». Il va être donné à Saint Merry, le dimanche 2 juin au cours de la célébration, Deux réunions sont prévues, pour se connaitre,…
Voici venu pour les futurs étudiants, le temps de l’orientation et de l’inscription sur Parcoursup. Paris les attire et les fascine pour le choix des filières, certaines sélectives et élitistes,…
Dialogue entre un père philosophe et un fils délégué général des Petits Frères des Pauvres, « Solitude » de Michel et Jean-François Serres est une belle réflexion sur l’engagement (Éditions Le Pommier, Paris). Henriette d’Harcourt nous en propose la lecture.
Dans une sorte de contretemps liturgique, je m’interroge sur les temps où le Seigneur se cache. Bien sûr, c’est une façon de parler : jamais il ne se cache, mais…
« Le soleil s’est caché, il est déboussolé, il a perdu le nord…
Je m’enferme, figée dans la noirceur de l’instant. Faut-il descendre si bas pour apercevoir un filet de lumière et lui faire confiance ? L’Orient apparaît…
… un Tout Petit, fragile, né dans une mangeoire ».
Une méditation poétique de Jacqueline Casaubon
« Le jour, j’appelle, je crie,
Aucun écho, la solitude ».
Variations sur le Psaume 39 par Jacqueline Casaubon
« Du nord jusqu’à la mer/il y avait ceux qui erraient dan le désert/Solitude dans les chemins/ils ne trouvaient pas une ville habitable ». Le psaume 107 chante la peur et l’angoisse des errants. Et la confiance en Yhwh pour son amour.
Jacqueline Casaubon nous en propose une variation pour notre série des psaumes d’aujourd’hui
Cri et louange. Les Psaumes oscillent entre ces deux pôles, avec de multiples variations : colère, détresse, abandon, confiance…
La même gamme de sentiments qui inspire les psaumes d’aujourd’hui écrits à l’initiative de notre Atelier Actualité.
Jacqueline Casaubon relit ainsi le célèbre « De profundis »